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| | Personnages secondaires allemands | |
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L'Admin Char d'assaut chaleureux
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| Sujet: Personnages secondaires allemands Dim 14 Juin - 2:19 | |
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Certains de ces pnj sont adoptables ! Contacter l'Admin pour plus d'informations...
Dernière édition par L'Admin le Mar 31 Aoû - 18:49, édité 17 fois |
| | | L'Admin Char d'assaut chaleureux
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Dim 14 Juin - 3:15 | |
| Oberstleutnant Horst Klegerman Staffelkapitän de la S3-G4 Metz-Geschwader et dirigeant en second de Sarnand Pilote du Schmetterling Puritas "Plus nazi que Klegerman, tu t'appelles Goebbels !" Voilà ce qui résume parfaitement le charmant caractère de Klegerman. Ancien de la SS, il est apparu comme une fleur pour l'éclosion de Puritas, dont on écarta presto le candidat d'origine. La faute aux capacités de Klegerman ? Pas vraiment : un ou deux amis bien placés auront suffit...
Pour sa défense, Klegerman ne s'en sort pas trop mal. Il est volontaire, intelligent et courageux. Si on l'a décoré en Pologne, c'était pour de véritables faits d'armes. Mais cela n'empêche rien au fait qu'il n'est guère populaire. C'est un officier sévère, voir même violent. Il méprise les Français et ne perd aucune occasion de les humilier, ce qui envenime constamment la situation et force l'Oberstleutnant Wienke à jouer les médiateurs improvisés. Son propre équipage au sol le déteste et ses officiers le craignent, tout en admirant cette confiance à toute épreuve qu'il semble avoir envers lui même ainsi la rigueur qu'il s'impose. Ils sont tous prêts à le suivre au combat, c'est sûr. Quant à l'apprécier en temps que personne, ce n'est pas gagné...
Klegerman a un peu plus de trente ans. Il est de taille moyenne tirant sur le grand, très blond, avec des yeux bleus clairs. De fait, il représente l'idéal type de l'Aryen.
Le Major Klegerman est promu dirigeant de Sarnand et Oberstleutnant le 11 Juin.
Dernière édition par L'Admin le Ven 18 Juin - 23:14, édité 10 fois |
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Dim 14 Juin - 15:44 | |
| Oberst Klaus KrügerCommandant du régiment allemand de Montreuil La quarantaine bien tassée, Krüger est un officier classique : prussien de bonne famille, quoique non noble, il parle un français grammaticalement impeccable mais d'accent médiocre. De taille moyenne, brun, poli, c'est un bon vivant qui aime l'ordre plus que la guerre. D'ailleurs, il se contente fort bien de postes tranquilles depuis qu'il a perdu un oeil... non à la guerre, mais d'une blessure d'escrime reçue au début des années 30. Il n'a de fait quasiment pas combattu et, lorsqu'on a enfin daigné envoyer son régiment au front, lui même ne le menait pas de l'avant.
Krüger est un organisateur et un administrateur capable. Pas trop anti français, tant que la municipalité cède à toutes ses demandes (qu'il juge évidemment raisonnables), il ne pose pas de problèmes. D'ailleurs, c'est un homme qui globalement ne cherche pas le conflit et préfère acheter la collaboration des locaux à coups d'avantages divers plutôt que par le fouet : sa table est sans doute une des plus généreuses de Montreuil. En fait, Krüger a toujours l'air d'aimer tout le monde, d'être ami avec tout le monde. Il fait partie du parti nazi depuis 1938, mais ne parle jamais de politique.
Apparitions en jeu : Le train sifflera trois fois [14 Mai 1941]
Dernière édition par L'Admin le Mar 17 Mar - 1:35, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Lun 31 Aoû - 0:39 | |
| Oberstflieger Ulric von LichtensteinDirigeant de la Luftpost à Sarnand PNJ adoptable, consultation avec Hermeline requise
Le major Ulric Von Lichtenstein est un homme à la soixantaine flamboyante. Le visage carré, les cheveux encore blond, les yeux gris, il mesure environ 1.76m. Même si ses vingt ans sont loin, le major reste dans une forme éblouissante : plutôt athlétique pour son âge, il participe toujours aux exercices et n’hésite jamais à donner son avis (musclé) lors de certains débats.
Sévère mais juste envers ses hommes, il semble vouloir les entrainer à être certes excellent dans leur domaine, mais aussi et surtout à rester en vie. Sans doute qu'être l'heureux père de neuf enfants le pousse à considérer chacun des ceux sous ses ordres comme des gamins...
Grand patriote, le major Von Lichtenstein est nettement plus sensible au discours sur la grande Allemagne qu’à celui sur la supériorité de la race aryenne… Il faut dire que ses nombreuses missions aux quatre coins du globe lui on un peu descellées les yeux sur la valeur relative des hommes entre eux ; et lorsqu’en plus c’est un tout petit bonhomme au nez busqué et aux cheveux noir corbeau qui clame que l’idéal de l’humanité est grand, blond aux yeux bleu, il y a de quoi se montrer légèrement sceptique. Cependant il reste un parfait militaire, amoureux de son pays et qui veut lui rendre la place qui est la sienne sur la scène internationale.
Fiche complète du major Von Lichtenstein, en liaison avec la fiche du personnage d'Hermeline :
- Spoiler:
Cadet du baron Enrich Von Lichtenstein, il a comme tous les hommes de sa famille choisis la carrière militaire. Puisque son aîné avait la lourde tâche de devenir au moins général dans l’armée de terre, Ulric n’eut pas d’autre choix que de s’engager dans la Luftwaffe. Après des classes exemplaires, il fut affecté sur le Behelmt Wulfgar, où il s’illustra bravement (pour ne pas dire dangereusement) pendant une bataille en Afrique. Il y gagna le droit de se présenter devant un œuf de Mauerfuchs d’où Füchsin, une femelle, sortit et se laissa harnacher.
L’homme est son dragon devinrent bien vite des éclaireurs hors paire, spécialistes de l’observation et de l’infiltration. De vilaines langues diraient espionnage, mais ils auraient lu trop de romans de gare… Alors qu’Ulric était en poste dans les hauts contreforts de l’Atlas, il rencontra une petite jeune fille française au caractère bien trempé. Elle avait décidé qu’elle était amoureuse et passa tout son séjour à le convaincre que c’était réciproque. Elle réussit. Il avait 24 ans, elle 16 et ils se marièrent très, très vite, Francine ayant mit beaucoup, mais alors vraiment beaucoup d’enthousiasme à le persuader qu’elle était la meilleure candidate possible à ce titre : Leur premier enfant naissait sept mois plus tard, sans souffrir nullement d’un quelconque syndrome pourtant habituel chez les prématurés.
Abigaëlle fut la première d’une longue lignée de petites filles. Elle avait déjà deux petites sœurs lorsque la première guerre mondiale éclata. Patriotes jusqu’au bout des ongles, Ulric et Füchsin furent déployés sur le front coté allemand. Francine elle, confia ses enfants a une cousine installée en Algérie puis alla directement s’engager comme infirmière sur le front, coté français.
Cela aurait pu signer la fin de leur histoire, il n’en fut rien, au grand dame de la famille de la jeune femme chez qui l’engagement militaire et le patriotisme était au moins égal à celui de son époux. Il n’en fut tellement rien, qu’à la faveur d’une trêve de Noël les deux époux mirent en route leur quatrième enfant. On avait bien dit spécialiste de l’infiltration en territoire ennemi non ? La Mauerfuchs avait choisi de ne voir dans cette expédition qu’un entrainement à faire la nique aux français (sans mauvais jeu de mot s’il vous plait), et accessoirement un moyen aussi d’avoir des nouvelles fraiches des enfants de son pilote. Il faut dire que le pauvre homme ayant un jour eu le malheur de désigner son ainée comme son "trésor", la dragonne en avait aussitôt déduit que ces créatures _ mignonnes mais un peu sottes _ qu'étaient les filles d'Ulric, étaient sa propriété. La phrase d'ailleurs qui revenait le plus souvent dans sa gueule à leur propos était : "cette petite chose rose est à MOI".
La guerre s’acheva enfin. Démobilisés, Füchsin et son pilote furent incorporés dans l’aéropostale. Mais contrairement à beaucoup de leurs semblables, leur affectation changeait souvent, toujours en fonction des évènements internationaux… Un hasard, évidement. Mais cela fut à la base des relations plus que tendues entre Ulric et son beau-père : Le lieutenant Libberecht, trouvant inconcevable que sa petite fille chérie reste seule et abandonnée avec ses enfants alors que son époux allait faire on ne sait quoi avec son dragon, enlevait périodiquement sa fille et ses petits-enfants pour les garder en sécurité auprès de lui. Lui qui étant militaire et passait son temps à sauter de caserne en caserne, au grès des évènements dans l’empire colonial français. C’est à cette occasion que le major et son dragon devinrent des professionnels de l’exfiltration, histoire de récupérer femme et enfants sans provoquer de drame domestiques entre eux la belle-famille.
Mais le conflit mondial avait fait de nombreux morts et la famille Von Lichtenstein y avait perdu son héritier, décédé sans savoir eu de descendance. Le baron Enrich Von Lichtenstein tourna alors tout ses espoirs vers son fils cadet, qui hélas ne semblait pas pouvoir faire avec sa femme autre chose que des femelles. Heureusement pour la lignée des Von Lichtenstein, Ulric et Francine étant toujours aussi amoureux ils ne se firent pas prier pour recommencer encore et encore, jusqu’à la naissance tant attendu d’un garçon. Prénommé Ivan en souvenir de son oncle tombé au champ d’honneur, il devait rester l’éternel benjamin de la famille, dernier enfant d’une fratrie de huit grandes sœurs…
Lorsque l’Allemagne se remilitarisa et que Füchsin fut de nouveau dans la liste des dragons en mission pour la patrie, Ulric reçut un ultimatum (amoureusement dit avec le sourire certes, mais quand même) de son épouse : « Si ton chancelier envahit mon pays, je retourne chez ma mère ». Sous-entendu : Tu ne me toucheras plus jusqu’à l’armistice et tu pourras toujours te taper le cul sur la banquise jusqu’à en faire jaillir des étincelle avant que je te laisse garder les petits…
Toujours aussi amoureux de son pays, mais aussi de sa femme, le major Ulric Von Lichtenstein grenouilla de toute la force de ses relations (et surtout des relations de son baron de père) pour rester officiellement dans la luftpost et être posté à Sarnand. Histoire de garder un œil sur Francine et leurs trois enfants encore mineurs.
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Mar 8 Juin - 17:13 | |
| Luftwaffe Helferin Anna SchmidtSecrétaire à Sarnand Pnj adoptable De belles fesses, une belle poitrine, un joli minois, des yeux de biches : Anna Schmidt est une très jolie femme, mais une jolie femme un peu (beaucoup) bébête. Elle est un peu cruche sur les bords et surtout assez naïve, ce qui, couplé à sa gentillesse naturelle, en fait une proie facile pour tous les dragueurs du coin. Tout le monde connait Anna, et Anna connait tout le monde ; il en faut beaucoup pour ne pas l'apprécier, sauf peut être être à cheval sur les bonnes moeurs : Anna Schmidt ne couche pas le premier soir (sauf si elle a vraiment trop bu), mais elle ne dit pas non au deuxième, à ce qu'on dit. Et puis, elle n'est pas très regardante sur les baisers...
Malgré tout, personne n'a à redire sur son rôle de secrétaire. Elle est accueillante, fait son travail et, surtout, les hommes du coin lui demandent d'être jolie... ce qu'elle fait très bien.
Elle n'est pas très courageuse et s'en remet généralement à son entourage masculin pour régler ses problèmes. Une fois lancée sur les ragots, c'est une vraie pipelette qui vous racontera à peu près tous les on-dit (plus ses commentaires personnels !), le tout avec un charmand accent de Saxe...
Sujets avec Anna Schmidt : -J'ai besoin d'un homme fort et courageux ! -La grande vadrouille des lots et des tickets |
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Ven 18 Juin - 22:28 | |
| Schütze Fritz HelmarSoldat à la Gestapo (Allemand) Adoptable Le "petit Fritz" a tout juste 19 ans. Il s'est engagé juste après avoir obtenu son Abitur par patriotisme et surtout par fanatisme. En effet, Fritz aime le nazisme, un idéologie pure et parfaite dont les défauts viennent de prasites corrompus et égoïstes qu'il faut expulser, voire éliminer. Les juifs et les communistes sont une vermine à exterminer et la guerre, c'est super bien.
Malgré cet aspect assez dur, Fritz est loin d'être un monument de confiance. Il est très pudibond et s'enflamme littéralement dès qu'on parle de sexe ; il ne tient pas l'alcool ; enfin, il écrit tous les soirs de longues lettres à sa mère. Il répète aussi à qui veut l'entendre qu'il a une fiancée, Helga, qui serait sa petite amie depuis leur enfance, et qu'il épousera quand le Reich sera victorieux. Du coup, ses collègues plus âgés ont tendance à un peu, beaucoup, passionnément se moquer de lui. Fritz a aussi un plaisir coupable pour le jazz et se rend souvent dans les clubs fréquentés par les zazous.
Fritz a été envoyé en France parce qu'il parle parfaitement le français. Ou le Belge. Surtout le Belge, avec un fort accent de Bruxelles, car sa famille y a vécu un moment. Un atout grâce auquel il est souvent utilisé comme informateur... ses amis zazous, par exemple, ignorent totalement qu'il n'est pas "un des leurs".
Liens : -Heinz Siedler et Hans Pfeffel, ses supérieurs. -Il fréquente le même club zazou que Friedrich von Warlau et Juliette Keller. -Il est amoureux de Juliette Keller. |
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands Jeu 24 Juin - 19:10 | |
| Julia Abendroth(Lycéenne à Sainte Marie) Autant Wolfgang est rebelle et parfois doté d'un caractère trop fort, autant Julia est calme et posée. C'est une demoiselle des plus respectables, ne s'énervant que lorsque l'on touche à sa famille ou à ceux qu'elle considère comme tels. Du haut de ses seize ans, elle possède la force de caractère des Abendroth. Son père, militaire de carrière dans la Wehrmacht, lui a enseigné le respect du travail rigoureux. De sa mère, artiste dans l'âme, elle garde l'amour de la peinture et de la musique. Elle adore d'ailleurs prendre la plume pour écrire quelques notes sur le coin de ses feuilles de cours ou faire quelques dessins.
Connaissant son cousin, elle a demandé à son père de partir en pension à Montreuil pour pouvoir le surveiller. Il ne fait aucun doute qu'elle est parvenue à obtenir cet accord après avoir argumenté des heures durant, car, autre trait de caractère commun avec le reste de la branche Abendroth de sa famille, elle est très douée pour argumenter durant un temps indéfini.
Son enfance ne la passionne pas tellement, elle a eu des leçons de la part de précepteurs durant sa prime jeunesse et ensuite elle est allée au collège tout simplement et sans se forcer outre mesure à travailler. Car ce n'est pas parce qu'elle est sage que le travail scolaire la passionne. Elle s'est d'ailleurs servie de cette absence de passion pour obtenir le droit de partir en France, tout simplement pour apprendre le français dont elle ne connait que quelques mots.
Elle doit arriver à Sainte Marie dans les jours à venir et faire la surprise à son si adorable cousin.
Liens : -Cousine de Wolfgang Abendroth -Elève dans la même classe que Hermeline |
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| Sujet: Re: Personnages secondaires allemands | |
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