Die Adler
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Adolf Walz

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AuteurMessage
Adolf Walz
Allemand
Adolf Walz

Messages RP : 3
Messages : 5
Âge du personnage : 41 ans

Adolf Walz Vide
MessageSujet: Adolf Walz   Adolf Walz EmptyMer 15 Sep - 20:00

Nom : Walz

Prénom : Adolf

Âge : 41 ans, né le 12/05/1900

Nationalité : Allemande

Métier : Oberst, dirigeant de la base de Sarnand.

Description physique :

Il aurait tant aimé être blond aux yeux bleus mais la nature en avait décidé autrement en le créant. En effet, le pilote possède des cheveux châtains tirant sur le roux selon l'éclairage et de magnifiques yeux vert d'eau. C'est dommage mais c'est comme ça. D'un autre côté, le fait d'avoir cette apparence physique lui a permit de mener à bien la seule et unique entreprise de séduction qui lui importait celle de son épouse. Mais cela est une autre histoire. Il faut tout de même être bien conscient que ce n'est pas parce qu'il approuve certains dires sur la pureté du sang qu'il aurait aimé avoir le type Aryen, non … c'est parce que son épouse était sortie avec des gens de ce type avant !

Concernant le reste de son apparence physique, on peut dire que c'est un aviateur d'une taille raisonnable et d'un poids en proportion. On peut aussi le trouver étrangement peu musclé pour avoir un dragon pareil, mais il est le partisan de dire que tout est dans la tête et que les muscles suivent toujours. Concernant les signes distinctifs qui peuvent le marquer, on peut parler de son visage marqué par les combats ou bien de sa bouche qui ne semble pas savoir sourire totalement. En tout cas, même si elle se fend de ce qu'il nomme sourire, il est rare que ce dernier atteigne les yeux et encore moins la fine cicatrice sur son sourcil gauche. Cette cicatrice a entraîné un second signe particulier un peu plus haut, au niveau de ses cheveux qui, à l'exacte verticale du sourcil ont perdu toute couleur définitivement. Cette mèche blanche en est arrivée à être craint par bon nombre de jeunes soldats qui murmurent qu'elle crépite quand l'homme se met en colère.

Description mentale :

Heureusement, Adolf ne se met pas souvent en colère, il préfère attendre, regarder froidement ses interlocuteurs et les laisser s'expliquer. Il faut dire qu'il n'a pas une voix propre à la colère, elle a une tendance naturelle à se casser quand il parle trop fort et ensuite il se retrouve avec des extinctions de voix désagréables. Enfin, il va toujours plaisanter avec ses camarades ou ses subordonnés pour peu qu'ils le méritent, mais très rarement il ne le fera sans chercher quelque chose en retour... peut-être simplement à dédramatiser une ambiance pesante. Amateur de bons mots et de traits d'esprits, il n'est pas rare de se retrouver sous le coup de ses plaisanteries et de son esprit d'escalier. Ne pas commencer et surtout en pas répliquer sont les meilleurs armes pour éviter de vous retrouver avec un surnom ridicule au sein de son commandement, surnom qui, comme toute situation ridicule, vous suivra durant toute votre carrière militaire.

Il sait faire preuve d'une économie de paroles lorsque la situation l'exige de par son expérience avec son dragon et par les ordres à donner sur le front qui ne pouvaient jamais constituer des phrases complexes, ou même complètes. Ce n'est pas un homme froid et distant, il apprécie d'être apprécié mais respecté. Enfin, il est absolument intraitable sur tout ce qu'il considère comme le règlement. Donc les horaires sont strictement respectées, le retard n'est pas autorisé, la chaîne de commandement est la chose la plus importante qui soit et surtout il ne contredira jamais l'ordre d'un supérieur qu'il soit bon ou mauvais.

Histoire :
Lorsque l'on nait avec le siècle, ou presque, on pourrait croire que l'on a des responsabilités particulières ou une destinée exceptionnelle. Et bien non, la famille du jeune Adolf n'avait pas les moyens de lui offrir une telle destinée. Cela ne signifie pas qu'il était pauvre ou miséreux, non, il n'était pas né avec une cuillère en argent dans la bouche, mais pas non plus la tête dans le caniveau. Ses parents étaient de simples artisans de Köln (Cologne), enfin son père plus particulièrement qui travaillait comme plombier. L'une de ses plaisanteries favorites consistait d'ailleurs à dire qu'il n'aimait plus l'eau de Cologne. Ce à quoi, lorsqu'il fut en âge de le faire, Adolf répondait toujours par un "papa" désespéré. Il faut dire que sans être un imbécile, son père n'avait pas inventé le fil à couper l'eau chaude ! Donc il ne pouvait pas non plus faire des traits d'esprit à toutes les phrases.

Le jeune Adolf passa de longues années à l'école et eut même, comble de chance, la possibilité de poursuivre ses études quelques temps à l'adolescence. Son père était au front, sa mère faisait des ménages et était bien contente de ne pas l'avoir dans les pattes. Mais bien vite, la triste réalité de la vie le rattrapa et il dut effectuer son service militaire. Là, son esprit d'initiative et son respect inné de l'autorité et des ordres lui donna assez vite une place intéressante et lui valut également quelques inimitiés. Il n'était pas là pour se faire des amis mais quand même, c'était plus agréable ! Mais, l'armée allemande n'offrait pas vraiment de carrière, la grande guerre avait nettoyé les rangs et surtout, personne ne semblait d'accord pour qu'elle se reforme totalement.

Cependant, lorsqu'il lui fut donné la possibilité de devenir aviateur comme responsable des transmissions sur un Mauerfuchs, Adolf, alors leutnant accepta sans mal. Il avait décidé que la compagnie des dragons, l'assurance d'avoir à manger (même si c'était des rations militaires) et un lit pour dormir valaient bien quelques sacrifices comme une mauvaise paye et une vie très réglementée. D'un autre côté, il avait toujours accepté les règlements donc ...

A vingt-six ans, toujours à la base de Köln, il rencontra celle qui devait devenir son épouse. Klara Klaus, une jeune femme d'un an sa cadette, infirmière de profession et fervente admiratrice des soldats en uniforme surtout s'ils s'appelaient Adolf Walz. En gros, le courant passa immédiatement entre eux et quelques mois plus tard, leur union fut célébrée. Bon an mal an, il grimpa peu à peu les échelons sans avoir la possibilité de devenir pilote jusqu'à l'âge de trente deux ans. A cette époque et en cette année, il sembla qu'il venait de gagner une grande période de chance. Son épouse lui annonça qu'elle était enceinte et un oeuf de Behelmt lui fut proposé. Mais, avec la naissance future et surtout à cause de certains autres candidats plus gradés que lui, il ne put assister à l'éclosion. Ce n'était que partie remise car quelques mois plus tard il posa le harnais sur Licentia, une femelle Schmetterling et obtint une promotion en même temps.

La naissance de son fils Wilhelm le douze novembre 1932, fut une véritable joie dans sa famille et le jeune papa fut immédiatement totalement gâteux devant son fils unique. Fils qui ne tarda pas à ne plus être unique suite à la naissance de sa soeur Anna deux ans plus tard. Tout resta calme dans la petite famille jusqu'au moment du début de la guerre. Adolf fut dépêché sur le front où il gagna une cicatrice à l'arcade sourcilière, une aile abimée pour Licentia et une belle peur. Il fut alors décidé que le nouvellement promu Oberst soit muté hors du front. Après une affectation comme second de la base de Köln, il lui fut proposé à l'été 41 de remplacer Klegermann (muté sur le front suite à sa demande) comme dirigeant de la base de Sarnand. Ce n'était pas un poste à haut risque mais il pouvait emmené sa famille et c'est ce qui compta dans sa décision d'accepter.

Relations : Il ne connait pas encore grand monde à Sarnand mis à part sa femme Klara, infirmière civile à Montreuil et ses deux enfants Wilhelm et Anna tous deux étudiants au sein des institutions Saint François et Sainte Marie. Mais ça va venir !

Dragon : Licentia, femelle Schmetterling de 9 ans. Elle est en tout point identique à l'individu moyen de sa race que ce soit sur le plan physique ou mental. Elle adore son pilote et c'est à peu prêt tout. Tout le reste est considéré comme un simple jeu pour elle. Elle est donc d'une témérité à faire pâlir d'envie bon nombre de personnes et cela lui vaut des remontrances de la part d'Adolf. Mais, avec son aile blessée, elle n'a plus tout à fait la même endurance et fulmine d'être dans un trou paumé sans rien à faire. Autant dire qu'elle va certainement demander à son Oberst de pilote d'organiser des entrainements réguliers si possible en combat !

Texte personnel :

" Oberst, à huit heures ! "

Adolf hocha simplement la tête pour montrer qu'il avait bien entendu le commentaire de son second. L'homme, un leutnant très jeune pour ce poste, était habitué et se tourna vers le reste de l'équipage pour donner d'autres informations qui n'étaient pas particulièrement utiles à son commandant. Adolf, lui, donna un certain appui sur l'encolure de Licentia et la dragonne obliqua rapidement en direction de leur poursuivant en grondant d'envie et d'impatience. Enfin un peu d'action semblaient vouloir signifier ses battements d'aile furieux.

Adolf savait qu'il devait la tempérer mais pour l'instant il devait surtout veiller à ce qu'il n'y ait personne d'autre au dessus de leur objectif. Ils allaient bombarder ce lieu stratégique pour les ennemis du Reich en Pologne mais il ne fallait pas qu'il puisse y avoir qui que ce soit pour intercepter les bombes. Donc il devait surveiller. Peut-être aurait-il prendre plus garde à leur adversaire. Mais un simple courrier ne pouvait pas être si dangereux que cela.

Les coups de feu furent audibles avant que qui que ce soit ne réagisse et Adolf sentit l'éclat de balle rebondir sur un mousqueton d'acier avant de l'atteindre à l'arcade et de lui brouiller la vue. Il s'essuya rapidement alors que Licentia perdait de l'altitude, touchée à l'aile avant que l'autre dragon ne s'échappe. Il grimaça et ordonna la retraite, la bombe avait de toute façon était larguée et il ne pouvait plus rien faire. L'objectif était détruit mais à quel prix ?

Deux membres d'équipage morts, Licentia et deux autres soldats blessés. Tout cela pour un hangar qui s'avéra vide finalement. Adolf ne remit pas en cause ses ordres, les officiers de renseignement ne pouvaient pas le savoir. En tout cas, il ne se laisserait plus avoir et la mèche blanche sur la trace qu'avait suivit l'éclat de la balle serait le signe de cette résolution.
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