Die Adler
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Friedrich von Warlau

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Friedrich von Warlau
Allemand
Friedrich von Warlau

Messages RP : 5
Messages : 16
Âge du personnage : 18 ans

Friedrich von Warlau Vide
MessageSujet: Friedrich von Warlau   Friedrich von Warlau EmptyJeu 17 Juin - 17:57

Fiche de personnage

Nom : von Warlau

Prénom : Friedrich

Âge : 18 ans

Nationalité : Allemand

Métier : Gefreiter (Heer)

Description physique :
Friedrich est blond, voire même très blond. C'est la première chose que l'on remarque habituellement chez lui. Il entretient soigneusement cette chevelure qui contribue à son succès en la coiffant à la mode du moment : Mèches de devant rabattue sur le côté, et cheveux coupés court partout ailleurs. Pour le reste, il est globalement dans la moyenne, 1.75m, une silhouette harmonieusement proportionnée qui contribue elle aussi à son succès auprès de la gente féminine, et qu'il entretient par des exercices réguliers en complément de l'entraînement de soldat déjà fort astreignant en soi. Il a les yeux marron clair de la famille, certains disent qu'ils sont semblables à ceux de son frère, ce qui a le dont d'irriter Friedrich qui rétorque qu'ils sont plus clairs que ceux de son ainé. Un visage rieur, carré, un peu gamin, complète l'arsenal de séduction du jeune homme

Description mentale :
Friedrich est quelqu'un d'assez gamin (normal vous direz vous, vu son âge), dont l'essentiel de l'attention est axé sur la gent féminine. Si l'armée est très importante pour lui, et sa famille, son attention s'égare rapidement au contact d'un représentante de l'autre sexe. Et le jeune homme ne se gênera certes pas pour aller la voir et commencer à la séduire, voir plus si affinités. Amateur d'espièglerie, il ne recule devant rien (ou presque) pour se marrer un bon coup, le jeune gefreiter n'en reste pas moins un soldat courageux et volontaire. Proche des hommes sous ses ordres, il aime l'action et l'imprévu, même une situation fort désagréable peu lui tirer un sourire, et sais garder la tête froide dans les pires situations pour réfléchir posément à la meilleure tactique à utiliser. Son sens de la tactique a souvent payé lors des exercices, mais les petits ruisseaux ne faisant pas toujours les grandes rivières, ses succès ont été occultés par les bourdes des autres. Si d'aventure vous voulez faire naître une grimace sur le visage presque poupon du jeune allemand, parlez lui de son frère aîné. Le jeune homme le considère comme un lèche bottes opportuniste qui ne reculerait devant rien pour s'élever facilement au lieu de trimer et de s'élever par la seule force du mérite, comme tout les gens de sa famille.

Histoire :

Friedrich est né au domaine de Warlau un certain 27 mars 1923, dans une grande famille de militaires, prise dans un déclin brutal. Malgré les déboires de sa famille, le jeune Friedrich connait une enfance heureuse, il s'entend bien avec son grand frère, Hans-Rudiger, et ce dernier semble le lui rendre. A sept ans, il connait son premier petit traumatisme : son frère quitte la maison pour servir dans l'armée. Friedrich se retrouve seul sans son frère, qu'il ne revoit que lors des fêtes et occasions familiales . Si dans un premier temps il vit très mal cette séparation, il fini par s'y faire à la longue. Ensuite, en Mars 1934, son père fait une mauvaise chute, sans gravité mais qui nécessitera du temps pour guérir complètement. Il est donc mis de côté puis destitué de son dragon. Friedrich ne saura jamais ce qu'il se passa réellement, mais son frère "hérita" du dragon paternel. Son frère, encore lui, achève de détruire les restes de confiance que Friedrich lui portait en adhérant, en 1937, au parti nazi. Traumatisme de trop pour le jeune Friedrich, pour qui les soldats ne font pas de politique. Surtout dégoûté par l'attitude de Hans-Rudiger, qui déjà se faisait très rare au domaine familial, et qu'il voyait maintenant en membre du parti, il en conçu presque de la haine pour ce parvenu fainéant qu'était devenu son frère. Ce dernier ne vint plus au domaine à partir de 1939, sans doute trop occupé par la guerre... et le jeune Friedrich était de toute façon bien trop occupé par ses amours de jeunesse pour se préoccuper d'avantage de ce frère "traitre à la famille".
La scolarité du jeune Friedrich se déroula sans encombre, toujours raisonnablement bien classé, il connu certes son lot de bagarres avec ses camarades, mais ne risqua jamais l'exclusion, sans doute grâce à un reste d'influence familial. C'est également pendant ses années de collège qu'il se rendit compte de sa profonde attirance pour la gent féminine, et qu'il se rendit également compte de son potentiel de séduction. Le jeune homme enchaîna donc les conquêtes et histoires brèves, s'enflammant au moindre jupon, devenant rêveur à la moindre œillade, ce qui lui valu certaine remontrances de la part des professeurs, de son père, et parfois même des parents des jeunes courtisées.
Il connu aussi les joies des jeunesses hitlériennes et donna son plein potentiel lors des exercices para-militaires. En effet, les cours politiques laissèrent le jeune homme d'une indifférence complète, il était déjà convaincu qu'un soldat ne faisait pas de politique, et il apparu très tôt que le jeune Friedrich ne ferait jamais un parfait petit nazi, mais par contre qu'il ferait sans nul doute un très bon soldat. Friedrich obtint son abitur en 1941, ainsi qu'une lettre de recommandation pour l'école d'officier d'infanterie de Potsdam. Il devait avant ça passer une année dans la troupe et se vit, comble de "bonheur" affecté dans le même village que son frère, un quelconque imbécile de l'administration ayant sans doute jugé que les deux frères seraient heureux de se retrouver...

Relations :
-Hans-Rüdiger von Warlau, son frère aîné
-Klaus Krüger, son supérieur hiérarchique
-Il fréquente le même club zazou que Fritz Helmar et Juliette Keller ; il sait que Fritz n'est pas un civil d'origine belge puisqu'il mange parfois avec lui chez Madame Manon. Il le couvre, sans approuver ses mensonges.
- a un gros faible pour Juliette Keller

Dragon :
Aucun

Texte personnel :

- ACHTUNG... STILL GESTANDEN !!

Comme un seul homme, le bataillon en entier claqua des tallons, un claquement sec qui pourtant vrombit comme un coup de tonnerre. Friedrich se tenait droit comme un piquet au milieu de la masse des sous off'. Cet exercice, les avait prévenu l'Hauptman, serait un des plus durs qu'ils auraient à mener cette année. Pour l'occasion, un petit hameau avait été créé et rapidement mis en conditions pour accueillir l'exercice. Des sacs de sables avaient poussés comme des champignons créant de petites positions à des endroits divers, certains stratégiques d'autres moins...

Le briefing fut, comme d'habitude, rapide et concis, le bataillon fut divisé en deux forces d'un nombre égal, une en défense, l'autre en attaque. Friedrich faisait partie des attaquants, comme par hasard. Les fusils étaient chargés à blanc, pas de grenades mais des flacons de peintures qui éclataient lors du contact avec une surface dure, ou un corps.

- Allez à vos positions, départ de l'exercice à sept heure zéro zéro!! Synchronisez vos montre, au troisième top il sera six heures trente... Top...Top...Top

Friedrich regarda sa montre et la synchronisa, comme tout les autres du bataillon. Il suivi son Obergefreiter, lui même suivant les directives de leur chef de corps, et le tracé d'une carte des environs. Rapidement ils arrivèrent à leur point de départ, en file indienne derrière le sergent qui éclairait le chemin à l'aide d'une lampe torche. Friedrich regarda quelques secondes vers l'est. Le ciel prenait des teintes violacées, orange aussi par endroit, coloré par le soleil levant. Puis il revint à ce qu'il avait devant les botes, un gros caillou sur lequel le jeune homme s'amusa à faire glisser son couteau de combat, sous le regard interrogatif de ses hommes et ulcéré du sergent.

Le soleil montra une partie de sa face un peu avant sept heures, les hommes, d'abord éblouis, apprécièrent la douce chaleur des rayons solaires matinaux. Tous étaient déjà debout, leurs armes chargées et prêtes à faire feu. Le sergent leva la main, son fusil dans l'autre, et l'abaissa à sept heures pile. Tout les soldats chargèrent alors le petit hameau. Arrivés à environ deux cent mètres, ils essuyèrent un tir nourri qui força de nombreux soldats, touchés à des degrés divers, à quitter le combat, en pestant et jurant. L'Obergefreiter de la petite troupe à laquelle appartenait Friedrich fut du nombre. De fait, le jeune Gefreiter prit le commandement. Alors qu'ils voyaient bon nombre de leurs camarades se coucher ou s'immobiliser pour ajuster leurs tirs, les hommes de Friedrich continuèrent de charger. deux hommes vinrent s'ajouter à l'Obergefreiter et un autre soldat de leur troupe mis hors de combat.

Friedrich ordonna à un de ses hommes à envoyer une fiole de peinture dans la maison contre laquelle ils s'étaient collés. Ce qu'il fit. Ils virent avec plaisir cinq homes sortir de la bâtisse, couverts de peinture blanche. Se faisant aider par un de ses hommes, le Gefreiter escalada le mur de la maison et pénétra dedans, il s'agenouilla, le fusil prêt à tirer, pour couvrir l'arrivée de ses hommes puis, une fois sur que tous étaient là, se dirigèrent vers la porte. Friedrich l'entrouvris et risqua un œil dehors... pour grimacer immédiatement. Il avait oublié qu'une bonne partie des MG 34 du bataillon avaient été alloué à la défense du hameau.

-ça... ça risque de nous emmerder profondément ça, les gars...
-On fait quoi chef ?


Friedrich fit la moue. Il réfléchi un court instant. Pour l'immédiat, les MG n'étaient pas vraiment un problème, coincées en haut de la rue, elles ne pouvaient tirer que droit, leur champ d'action étant donc limité à ce qui se trouvait juste devant elles. Le plus urgent était de nettoyer les maisons qui contenaient le vrai danger...

Par les gestes, il désigna les objectifs. D'abord nettoyer les maisons. Tout les soldats hochèrent la tête en silence. Dehors, leurs camarades menant l'attaque se faisaient encore hacher menu. I ouvrit la porte d'un coup et fonça vers celle juste en face, il la défonça d'un coup d'épaule et jeta la fiole de peinture qu'il avait préparé dedans, avant de s'échapper dans une ruelle adjacente, juste avant que la MG en faction dans la rue n'entre en action. Avisant une fenêtre il vida son chargeur dedans avant de voir que c'était inutile, les soldats dedans avaient été mis hors de combat. Alors qu'il faisait signe à ses hommes de le rejoindre, il marcha sur un caillou qui était mal stabilisé au sol, entraînant de fait le jeune homme dans sa chute. Bien évidemment, le choc fut brutal et une violente douleur monta de la cheville du jeune homme qui de mordit la main pour ne pas hurler de douleur. Voilà qui risquait fort de l'empêcher d'aller danser le week end prochain. Les larmes aux yeux, il donna ses directives, à savoir neutraliser les MG. Il allait donner le signal lorsque retenti l'ordre de cesser l'exercice.

Friedrich revint en boitant, soutenu par un de ses camarades. Le regard du Hauptman ne présageait rien de bon, et les soldats se préparèrent mentalement à devoir recommencer l'exercice. Même Friedrich, après être passé voir le doc' qui lui fit une mini atèle soutenue par ses bottes serrées, du refaire trois fois l'exercice, jusqu'à ce que l'équipe attaquante contrôle au moins une bonne moitié du hameau...
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